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Le Blog De Merlin

20 juillet 2011

La Sécurité vaut-elle la soumission !

 

                    

La sécurité vaut-elle la soumission

 

 

 

Un matin du mois d’août et de très bonne heure, deux personnes la cinquantaine d’années passées se promènent  dans l’antique forêt de Paimpont en Bretagne.

 

Cette forêt est plus connue sous le nom de Brocéliande.

 

Une de ces personnes est prénommé Yves  est l’autre est  prénommée Marie.

 

Bien au-dessus de la vie tumultueuse de la ville cette forêt  est propice à la  rêverie et à la réflexion silencieuse.

 

Leurs pas les mènent au pied d’un petit tumulus.

 

Pour accéder en haut de celui-ci, il faut monter trois marches.

 

Au sommet de ce  tumulus se trouve un assemblage de pierres dit

« Le tombeau de Merlin »,

 

Ils si arrêtent et débattent sur ce que chacun croit savoir sur le magicien.

 

A coté du tombeau il y a un grand panneau où est inscrit un parcours de randonnée à faire si on le désire.

 

Ce chemin ce fait dextrorsum.

 

Après concertation Marie et Yves décide de faire cette ballade.

 

Le début de leur marche les amènes dans une clairière où coule une source nommée « Fontaine de Jouvence.

 

Arriver au-dessus de la source Yves pensas à ISIS reine des sources bienfaisantes et qui avait dit « Venez à moi vous tous qui souffrez et qui êtes accablés et je vous soulagerai »

 

Au centre de cette clairière il y a une maison basse faite de pierres, ils y pénètrent par une porte à deux vantaux, l’intérieur est   à peine éclairé par une petite fenêtre en haut et à l’Est de ce logis.

 

Le silence est roi dans ce lieu.

 

Ils ressortent de cet endroit et se promettent de revenir plus tard dans la journée quand le soleil sera haut dans le ciel

 

Leur marche se continue sans un mot.

 

Au bout de quelques minutes Marie demande à Yves :

 

«  Dit  moi Yves ! Puis-je te poser une question ? »

 

 « Si je peux y répondre bien-sur ! répond Yves»

 

«  Penses–tu  que la sécurité vaille la soumission ? »

 

 « Question d’actualité lui répond Yves ! 

 

Si tu veux pendant notre périple dans cette forêt, laissons nous allez à nos visions sur cette question ! » 

 

« D’accord ! Mais tu n’as pas répondu  ma question? »

 

« Alors voilà pour moi il y a plusieurs sécurités qui entraînent la soumissions des personnes concernées,

 

 Je vais les classer par ordre de ma venue à l’esprit:

 

La première est celle de la soumission à la sécurité de l’ordre physique et du foyer

 

L’homme pense parfois à tord que les muscles qu’il a  lui servent à protéger son épouse et ses enfants contre l’extérieur du cercle familial.

 

Parfois même il sans sert au sein de sa famille pour se faire respecter.

 

Pour moi s’est une marque de faiblesse, il est à ce moment là à cour d’arguments et ne sait plus quoi faire pour montrer qu’il est le chef de famille.

 

Il faudrait peut-être pour lui prouver le contraire, changer certaines phrases dites lors la célébration du mariage civil et religieux.

 

A ce moment là, Marie coupa la parole à Yves

 

Que veux-tu dire !

 

Je veux dire tout simplement que  l’homme se sentira moins investi d’une mission qu’il n’a pas!

 

Imposer sa vision des choses à autrui. 

 

« Oui pour cela je suis entièrement d’accord avec toi Yves,

 

Mais l’on ne peut remettre en question une institution tout entière sans qu’il y est des remous important par mis les tenants de cette règle répondit Marie ! »

 

C’est en silence que continua leur marche jusqu’au pied d’un grand arbre qui a pour nom l’arbre d’Or

 

Ils s’y assirent à son ombre et contemplèrent le paysage.

 

A leurs pieds et sur une pierre été gravé un pentagone.

 

Cet arbre se situé au-dessus du « Le Val sans retour »

 

Ce lieu d’après la légende est plein de mystères, Morgane la fée  y retenait prisonniers les chevaliers infidèles.

 

Marie repris la parole

 

« Yves ! Peux-tu continuer ton classement pour que je voie si nous sommes d’accord tous les deux ? »

 

Bien voilà ! ma deuxième vision sur la sécurité est celle du monde du travail.

 

Il est normal qu’il y ai une autorité au sein d’une entreprise.

 

La sécurité de l’emploi et la pérennité d’une entreprise dépend au trois quart du respect de la mise en oeuvre par l’autorité et la voie hiérarchique des lois du travail, du commerce et de la bonne marche des activités pour la quelle celle-ci a été créé.

 

Mais à contraria  il ne faut pas croire que la soumission forcer et dictatoriale donne que des bons résultats.

 

Dans les  pays latins et surtout  en France,  la soumission à l’autorité sécuritaire et dirigiste n’a jamais rien donné de bon.

 

Il faut rester dans les limites du raisonnable pour un bon français.

 

Les autres mentalités tel que la germanique s’adaptent mieux à un état de fait plus rigide.

 

Marie et Yves se  relevèrent et reprirent leur chemin.

 

Quelques minutes plus tard, Marie dit à Yves

 

« Que penses-tu des stratégies militaires, politiques ou autres  »

 

Tu sais Marie depuis que les hommes sont sur terre, ils ont toujours voulu dominer leurs voisins, en commençant par les hommes de  la grotte de droite  qui voulaient imposer leur point de vue à la grotte de gauche  et entre celles-ci l’on entendait :

 

« Si vous voulez de l’eau qui coule à notre source  et du feu que nous entretenons vous devrez  vous soumettrez à notre autorité et en contrepartie nous vous  protègerons de toutes intrusions dans votre antre ! »

 

Et bien entendu un jour arriva ou celle de gauche domina celle de droite.

 

« Oui bien sûr ! rétorqua Marie, mais l’on ne peut pas se baser sur cette anecdote imaginaire pour parler de la soumission ».

 

Bien entendus ! répondit Yves.

 

Mais  l’histoire de n’autre humanité depuis la nuit des temps est pleine de fait de cet ordre là !

 

Un exemple par mis tant d’autres me vient à l’esprit c’est la Pax romana

 

Dés l’année 58 avant J.C, un certain César entreprend la guerre des Gaules.

  

Grâce à César, l’empire romain va compter jusqu’à 14 provinces.

 

Pour César conquérir était un moyen d’obtenir des légions et des honneurs, cela  lui a donné un pouvoir réel à Rome.

 

Son but n’était pas de propager la culture latine, mais bien plus de satisfaire sa carrière personnelle.

 

Ces guerres étaient sanglantes.

 

Elles étranglaient les civilisations précédentes par un véritable génocide.

 

Pline l’ancien avance le chiffre de 1,2 millions de victimes.

 

Sous différents prétextes, économiques, militaire et autres,  la romanisation était une occupation extrêmement brutale des pays conquis, elle était une suite de pillages, d’exploitations et de soumissions des peuples envahis.   

 

Rome à cette époque a besoin de soumettre d’autres peuples pour sa sécurité propre.

 

A l'inverse les peuples soumis à Rome ont bénéficié de nouvelles technologies et ont vécu  assez longtemps en paix relative et en sécurité. (Ref 01).

 

 

« Tu as peut-être raison pour Rome Yves !

 

Mais à notre époque qu’elle est  d’après toi le pendant de la pax Romana ? »

 

Et bien Marie pense à la pax América ! répondit Yves 

 

Cette pax América a quelques ressemblance avec la pax Romana dans le sens ou elles ont toutes les deux un même but, la sécurité de leur territoire et de leur économie.

 

La pax América a pour intention entre autres choses d’étendre les zones démocratiques pour empêcher l’émergence d’autres grandes puissances.

 

Pour cela les E.U on placée des présences militaires multiples sur notre globe capables de mener plusieurs guerres .

 

Ces armées sont là pour défendre des régions clefs en y maintenant la paix.

 

Les E.U.on soumis des pays à leur forme de pensées et de vie, tel qu’Israël ou la Coré du sud et pour ce faire ils soutiennent ces mêmes pays par des subventions énormes pour garantir leur sécurité.

 

Cette sécurité par la soumission volontaire ou pas donne aux E.U. l’occasion de faire avancer les sciences sur de nouveaux produits, armes, télécommunications, transport, dont le monde entier profitera malgré tout dans l’avenir.

 

Les E.U. avec d’autres pays essayent de soumettre aussi le monde entier au libre échange, ce qui n’apporte pas pour autant la sécurité que certain attendent, car elle leur enlève leur libre arbitre. (Réf 02)

 

Un long silence se créa entre Marie et Yves.  

 

Le soleil était haut dans le ciel quand la discussion repris par une demande de Marie.

 

Yves ! Connaît-tu quelques Philosophes qui parle de la sécurité ?

 

Disons que le peux que je connaisse sont des références à deux points de vue de  Philosophes  tel que Thomas HOBBES ou John LOCKE

 

Thomas HOBBES pense  qu’à l’état de nature les hommes sont égaux.

 

 Ils ont les mêmes désirs, les mêmes droits sur toutes choses avec les mêmes moyens.

 

Que l’homme est sociable par accident et non par nature !

 

Il pense aussi que l’homme essaye de se faire du bien avec les moyens nécessaire pour y parvenir.

 

C’est pourquoi bien souvent ceux-ci ont tendances à entrer en conflits les uns avec les autres.

A cause de cela, l’homme est un loup pour l’homme.

 

Il donne un autre exemple pour appuyer sa thèse.

 

Il écrit que dans une guerre des alliances éphémères se nouent pour l’emporter sur un pays.

 

Mais à peine la victoire acquise que les vainqueurs se ligue les uns contre les autres pour bénéficier seul du butin.

 

A partir de là, c’est librement et volontairement que les hommes ont échangé leur liberté naturelle contre la paix et la sécurité.

 

Car l’humanité livrée à elle-même, sans ordre social aurait fini par disparaître.

 

L’homme a compris que pour subsister il n’y a pas d’autres solutions que de sortir de l’état de nature.

 

John LOCKE lui pense que les hommes sont par nature raisonnables, libre et égaux.

 

L’usage de la raison permet et impose de se conserver en vie par ses propres moyens tout en veillant à ne pas envahir le droit des autres.

 

Il dit aussi que les gouvernements civils doivent veiller à la paix, à la sécurité et à l’harmonie du peuple.

 

Que le pouvoir est seulement un dépôt et non un contrat de soumission.

 

Qu’il est nullement question de se soumettre complètement à un pouvoir absolu.

 

Le libéralisme veut assurer la liberté de l’homme en société.

 

Il est lié à la démocratie, dans la mesure ou les droits de sûreté personnelle, de propriété et de  liberté de l’individu sont respecter par le pouvoir exécutif, qui lui-même est soumis au pouvoir législatif. réf : 03

 

Sur ces derniers mots Marie et Yves s’aperçûmes qu’ils venaient d’arrivé sur le perron de la «  Fontaine de Barenton »  où Merlin et la belle Viviane eurent des relations amoureuses

 

Marie et Yves s’assirent prés du cour d’eau et laissèrent tremper leurs pieds dans l’eau fraîche.

 

« Marie demanda est-ce que la liberté de l’esprit peut-être contrarier par la soumission sous prétexte que la sécurité est en question» ?

 

Yves répondit !

 

L’obéissance est un  élément fondamental de l’édifice social.

 

Toute communauté humaine nécessite un système d’autorité.

 

Les personnes sont plus ou moins conditionnées dès l’enfance à se soumettre, ce qui donne parfois des résultats atroces tel que nous l’avons connu dans le passé.

 

Pense à l’extermination des juifs par les nazis, c’est l’exemple abominable de l’action accomplie par des milliers d’individus au nom de l’obéissance et de la soumission à une pensée sécuritaire de la soi-disant race arienne.

 

Et que dire des pays où la démocratie n’a jamais existé tel que les pays soumis aux dictat de l’U.R.S.S. au temps de la guerre froide.

 

Il existe encore aujourd’hui des nations ou la démocratie n’est qu’un mot et peut-être même un danger pour leur gouvernement, tel que la Chine, l’Iran etc...etc...

 

Se sont des lieux où la soumission est de  rigueur pour la sécurité de leurs dirigeants.

 

Bien entendu les dogmes de certaines religions non pas facilitées la liberté de penser et on fait en leur temps que de  bonnes choses pour préserver les  privilèges  économiques, territoriaux de leurs instigateurs.

 

Marie je ne voudrais pas finir cette discussion sans te parler d’un fait qui envahi de plus en plus notre monde, ce dont je veux te parler c’est ce que je pense des sectes.

 

Tout d’abord il faut que je te rassure Marie.

 

Une secte est pour moi que l’abrutissement, la mise sous tutelle ou la soumission d’un être à la parole d’un gourou.

 

Cela mais insupportable et il sur que jamais, je dis bien jamais je ne ferai partie d’une secte.

 

Mon libre arbitre en dépend, je détestais me confesser à un prêtre lorsque l’on m’obligeait à aller à l’église

 

Alors pense !

 

Me soumettre à un gourou pour lui mettre ma sécurité entre ses mains, c’est pour moi du délire simple ou me suicider.

 

Pendant leur  randonnée Marie et Yves ont fait sans s’en rendre compte un  grand cercle dans la forêt.

 

Ils se  retrouvèrent pas loin de la maison de pierre qu’ils avaient découverte le matin.

 

Entre temps le soleil était  arrivé au zénith de la clairière. 

 

Ils s’approchèrent de la maison et aperçurent sur une pierre qui était sur le parvis des gentils une gravure représentant un heptagone avec en son centre le signe plus.

 

Les deux vantaux de la porte d’entrée de la maison étaient ouverts et l’on apercevait cette fois-ci deux autres fenêtres placées en haut et sur le mur Sud de ce logis.

 

Le soleil pénétrait de tout son feu et éclairé ce que Yves présentait dés le matin ;

 

Une loge maçonnique.

 

Un homme  aborde  Marie et Yves

 

Que désirez-vous !

 

Je suis le président des gens qui se réunissent dans ce lieu !

 

Yves lui répond :

 

Bonjour mon Monsieur !

 

Nous ne désirons rien, sauf de se recueillir un petit moment dans ce Temple pour réfléchir encore un peu sur notre discussion de la matinée.

 

Sans indiscrétion quelle était cette discussion ! dit l’homme  

 

Yves lui relata tout ce qui c’était dit et demanda à cet homme s'il y avait quelques portes symboliques à leur ouvrir.

 

Celui-ci pris la parole et leur conta une histoire vielle comme les premiers écrits qui servirent à constituer le livre saint d’où est sortie la Bible.

 

« Bonjour ! Marie et Yves »

 

Je suis LILITH, la partie sensible et intuitive de l’être créer par le dieu de la bible.

 

Il m’a fait à son image en même tant que la partie masculine.

 

Je suis issue de la même poussière, je suis Femme et Homme.

 

La partie forte de mon être se nomme ADAM

 

Nous sommes égaux, ni l’un, ni l’autre n’a la préséance.

 

Le dieu qui nous a créé à fait que nos deux entités se séparent ;

 

Adam est devenu le sexe masculin et moi Lilith je suis devenu le sexe féminin.

 

A partir de ce jour Adam a voulu prendre le dessus sur moi dans tous les sens du terme et il voulut aussi me soumettre à sa volonté.

 

Je ne l’ai pas accepté et ne supportant plus cet état de fait, j’ai décidé d’invoqué le nom de l’ineffable

 

Car moi je le connaissais !!!

 

Et dés ce jour j’ai reçu miraculeusement des ailes.

 

Celles-ci m'ont permises de sortir du jardin d’Eden où j’y étais en sécurité.

 

Ne voulant pas être soumise et garder ma liberté de pensée.

 

J’ai préféré ne plus être à l’abri du monde extérieur !

 

 

« Bonjour ! Marie et Yves »

 

Je m’appelle Eve.

 

Le dieu de la bible m’a créé à partir d’une côte de l’homme nommé Adam !

 

Je suis la femme de cet homme et je lui suis soumise car le dieu qui nous a conçu la voulu ainsi.

 

Nous avons essayé de suivre ses commandements pour rester en sécurité dans le jardin d’Eden.

 

Mais un jour un serpent est venu me dire à l’oreille qu’il serait bénéfique pour moi de manger un fruit cueilli à l’arbre de la connaissance.

 

Je l’ai fait et j’en ai proposé à Adam.

 

Lui aussi l'a mordu.

 

Depuis ce jour nos yeux se sont dessillés et nous avons compris que notre sécurité dans ce jardin ne tenez qu’a notre soumission à notre créateur.

 

Nous avons maintenant notre autonomie avec tous ce que cela comporte de bon et de mauvais.

 

 

 Avant de vous quitter Marie et Yves je voulais vous dire que moi Eve et Adam ne sont peut-être qu’un mythe qui sous tend dans son expression l’image de la sécurité et de la soumission du sexe féminin  envers le sexe masculin.

 

Ou plus exactement la soumission apparente de la beauté et de la sensibilité à  l’orgueil de la force musculaire.

 

Je pense que notre mythe existe lorsque vous le lisez dans la bible.

 

Quand vous en parlez ou qu’il est dans un coin de votre cerveau ?

 

Mais là pourquoi se cacher la face.

 

Suivez la corde du Fil à Plomb.

 

Il peut vous montrer aussi que votre subconscient est certainement habité par une autre façon de voir les choses, de braver les interdits, de ne pas être  soumis aux règlements, aux commandements de tel ou telles personnes, de gouvernements, de religions, etc.….

 

Cela vous rappelle t-il pas une autre histoire ?

 

Et oui !

 

Vous s’avez de qui je veux parler.

 

C’est l’histoire du serpent.

 

Le Serpent Rouge  celui que les Tantristes appelaient la KUNDALINI (Ref 04)

 

La SOPHIApour les Grecs et les Perses de jadis.

 

ISIS pour les Egyptiens.

 

Il est l’instrument de toutes les conquêtes spirituelles et ésotériques.

 

Il est la Gnose, il est la Sagesse.

 

Celui-là même qui est venu me susurrer à l’oreille qu’il était intéressant de mordre dans le fruit de la connaissance.

 

En partant ce serpent m’a dit une chose étrange.

 

Qu’il était de sexe féminin et qu’il s’appelait Lilith.

 

Qu’elle était la représentation de tout ce qui est soi-disant interdit et enfoui au fond de nous même et que le sexe masculin aurait du mal à accepter que le sexe féminin soit son égal en toute chose.

 

Ce furent les dernières paroles de cet homme et nous répriment notre marche pour rejoindre la vie tumultueuse de la ville.

 

Avant d’arriver à notre véhicule  Yves dit à Marie :

 

Voilà Marie ce que je pense sur  « La sécurité vaut-elle la soumission »

 

De toute façon ce sujet est tellement vaste et personnel que tant que le monde tournera, les êtres humains dans toutes leurs diversités auront chacun un point de vue sur ce sujet philosophique.

 

Mais il est encore une réflexion qui vint à l’esprit d’Yves.

 

Marie si nous nous soumettions pas volontairement au code de la route, aux lois de notre pays, aux bonnes mœurs, au respect de la vie humaine.

 

Si nous ne prenions pas en considération l’autre qui en face de nous, je pense que se serait la vraie panique et l’anarchie sur terre.

 

L’homme serait revenu à l’état de nature et certainement qu’il serait vraiment un loup pour l’homme et ne serai plus de ce monde.

 

Mes amis avant de  quitter Marie et Yves, je voudrai vous narrer une tradition bretonne.

 

En Bretagne 90% des enfants garçons ou filles ont en plus de leur prénom usuel le prénom de Marie sur leur carte d’identité.

 

Pour les Bretons Marie est leur protectrice.

 

Je vais vous confier mon secret qui n’en ai pas un d’ailleurs, je me nomme :

 

Jean-Luc, Yves, Marie

 

Fin

 

 

 

 

 

REFERENCES

 

 

ref 01  Fabien Dumont

 

ref 02   Karel Vereycken

 

ref 03   John Locke

(La justice à pour fonction de faire respecter les droits individuels contre toutes les actions inamicales d’autres individus ou contre les décisions éventuelles arbitraires de l’état.) John LOCKE

 

ref 04    La Kundalini. C’est dans l’os triangulaire du «  Sacrum », situé à la base de la colonne vertébrale, que réside en nous la Kundalini. Cette extraordinaire énergie, lorsqu’elle est éveillée, s’éléve le long de la colonne vertébrale et traverse tous les chakras du système subtil pour enfin ouvrir le dernier centre au sommet de notre tête, le « Sahasrara ». Nous obtenons ainsi la réalisation du soi.

Les Grecs indentifière cette énergie sous le nom de « Pneuma », l’Islam parle du « Ruh », le Christ l’a nommée « Souffle de l’Esprit. La mystique juive parle de la « Shekkina » et, bien avant, les Sumériens vénéraient « Inanna », la déesse mère qui donne la naissance spirituelle et le souffle sacrè. Il y a plusieurs millénaires, l’Inde parlait déjà de « Chaitanya » et du « Soi » que Sahaja Yoga traduit par « Vibrations divines ». La connaissance de l’existence de ces vibrations n’est pas nouvelle, mais elle s’est perdue ou a été déformée au cours des siècles.

 

 

(Penser à l’expérience que fit Stanley Milgram sur la soumission à l’autorité. Il demande à un élève de faire une expérience sur un sujet qui n’est autre qu’un acteur.

L’élève doit administrer une décharge électrique chaque fois que le sujet ne donne pas une bonne réponse aux questions poser.

75 V il gémit

120V il formule des plaintes

150 V il supplie qu’on le libère

285 V sa seule réaction est un cri d’agonie

Le sujet administre les punissions car son souhait est de se monter digne de ce que l’autorité attend de lui. Et il lui permette de ne pas être responsable à ses yeux des conséquences de son geste.

La désobéissance est le moyen ultime d’abolir la tension)

 

 

             

 

 

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